Vincent Larribe et Anaïs Mourgues sont respectivement Directeur du développement et Cheffe de projets photovoltaïques chez Reden, producteur d’énergie renouvelable d’origine photovoltaïque. Meilleure priorisation de la prospection, plus grande efficacité dans la détection d’informations locales pertinentes et dans l’obtention d’autorisations d’urbanisme : ils nous partagent les premiers bénéfices observés depuis l’adoption du logiciel d’Explain.

Parlez-nous de Reden !

Vincent Larribe – Reden est un producteur d’électricité indépendant depuis 2008, avec des activités en France et à l’international. On pilote tout cela depuis notre siège à Agen, juste à côté de notre usine. C’est l’une des particularités de Reden : on a intégré toute la chaîne de valeur depuis la production de panneaux photovoltaïques, que l’on fabrique ici en France, jusqu’à la vente d’électricité produite sur nos centrales. 

Quels sont les enjeux d’un acteur du solaire comme Reden ?

VL – L’accès à une information très locale est absolument clé pour nous. Ce qui va être garant de notre succès dans la durée, c’est notre capacité à obtenir rapidement les autorisations d’urbanisme pour les projets sur lesquels on travaille.

Pour ça on a besoin de connaitre nos territoires parfaitement, et ce que nous permet de faire le logiciel d’Explain, en nous donnant accès aux différentes modifications de documents d’urbanisme et aux éléments clés issus des articles de la presse quotidienne, sans avoir à les éplucher un par un. 

Ces informations nous permettent de dégager des tendances et de prioriser les zones sur lesquelles on va aller chercher à développer des centrales photovoltaïques. 

Quel est l’usage du logiciel d’Explain par les équipes Développement ? 

Anaïs Mourgues – Aujourd’hui, les équipes de chefs de projets utilisent le logiciel au quotidien. Il nous permet d’abord de suivre les mouvements politiques sur les territoires que l’on couvre, quand il y a des changements d’élus par exemple.

Nous sommes également alertés des modifications des documents d’urbanisme : les PLU, les SCOT, les mises en œuvre de PLUi. On l’utilise aussi pour identifier de nouvelles opportunités puisqu’il nous informe des nouveaux AO et AMI qui sont lancés sur nos territoires, sur les thématiques qui nous concernent.

Et enfin pour notre veille concurrentielle : il nous permet d’avoir un oeil sur les nouveaux projets qui vont être construits sur nos secteurs d’attribution, et plus généralement de suivre au plus près tout ce qui se passe sur nos territoires. 

Quels sont les premiers bénéfices identifiés depuis l’adoption du logiciel ? 

VL – Le premier bénéfice, c’est un gain de temps. Cette recherche d’informations est quelque chose qu’on faisait par le passé mais on le fait aujourd’hui beaucoup plus efficacement. On a aussi gagné en qualité, puisque le fait de gagner du temps nous permet d’être plus exhaustifs sur les informations que l’on va chercher.

Je constate un autre bénéfice important sur la priorisation des zones sur lesquelles prospecter. Le fait de connaitre la tendance politique sur chaque territoire, les prises de position des élus, nous permet de faire des efforts commerciaux là où les projets ont le plus de chance d’aboutir. Cela nous évite de perdre du temps sur des projets qui ont moins de chance de voir le jour au terme d’un process de développement complexe.